Jeune peintre prodige chez les Dominicains à Ottawa, boursier du Québec à Paris comme Alfred Pellan et Paul-Émile Borduas, Jean Dallaire débarque à en France juste avant la Deuxième Guerre mondiale. Arrêté par la Gestapo, il se retrouve prisonnier, enfermé dans un camp pendant quatre ans. De retour au Canada, il est engagé comme professeur d’art à Québec puis comme animateur à l’ONF. En 1959, Dallaire retourne en France et passe les dernières années de sa vie à Vence. Un Paris pour Dallaire raconte la vie de Jean Dallaire, mais c’est aussi une chronique sur l’évolution de l’art au Québec à l’époque de Duplessis, du Refus global et de la Révolution tranquille. .