Anaïs aurait dû écouter Éden et s’enfuir. Mais quand on finit par trouver l’amour, le vrai – celui que tous traquent de bar en bar, celui dont on rêve au fond d’un lit froid –, il devient difficile d’y renoncer au nom d’un sombre présage d’avenir. Éden devient lentement prisonnier de son corps, Anaïs de cet amour plus grand que nature qu’elle ne sait réprimer. Que faire d’autre alors que prendre son souffle et plonger? Les pires choix sont parfois ceux que l’on fait par amour.