TRIPTYQUEENFANTHOMME Comme si les mots d’un garçon de onze ans, retrouvés dans son journal intime des années cinquante, se projetaient sur l’homme qu’il est devenu. MOTSPARLEURS Comme si la poésie voulait tout à coup s’exprimer en prose et que la prose veuille, à son tour, faire des poèmes à forme libre. PAUMEBAUME Comme si les mots, de nos jours, avaient besoin – urgemment– de douces paumes pour nous calmer du réel hallucinant qui n’en finit plus de faire mal, très mal, à vivre. Bref, au bout du quai, une goélette chargée de mots vient d’accoster…