Aimer Émile, être aimée de lui, c’est quelque chose que Marie Mercure veut vivre et revivre à l’infini. Tant mieux, tant pis, on ne sait pas trop : derrière le masque de la comédienne, quelque chose de fragile s’effrite, grugé par cette relation toxique. Mais peu importe, on aura beau l’enfermer dans des rôles, des monastères, des tourelles, des cages en verre, Marie mourra sorcière.