Et un roman La Vie Rouge coquelicot sur le « Tikoum Olam » concept de la philosophie juive, l’aspiration de « réparer le monde » « Prédestiné, né à Paris, à Montparnasse, dans un atelier de peintres juifs ». Élevé par des « Justes », Jack.J.Minkovski se demande comment préserver, sans la taire, son enfance dans les vignes du Bordelais. Il avait cinq ans quand ses parents ont été déportés et assassinés à Auschwitz. Hélène, peintre, et Robert, poète et viticulteur, l’ont élevé. Socrate, ancien résistant et prof de philo, son parrain implicite, lui instille dans la pensée le « Tikoun Olam », ce concept de la philosophie juive, l’aspiration à « réparer le monde ». Jack y souscrit passionnément dans son œuvre. Cependant le succès que rencontre sa peinture ne le détourne pas de l’obsession de retrouver le portrait de sa mère, réalisé par Modigliani, à la terrasse de la Rotonde, à Montparnasse et volé dans l’atelier de ses parents le jour de leur arrestation. Son secret depuis l’adolescence, défier l’équilibre. Au-dessus des toits à Madrid, à Paris, à New York, les yeux bandés, en tête à tête avec l’absolu, il discerne dans l’espace, le visage de sa mère.