Ce nouveau récit témoigne du vécu, de l’inspiration romantique et de l’imagerie sensuelle. Il est plus dense et plus approfondi que son prédécesseur et nous revient pour sa conclusion. Notre personnage se remet d’une peine d’amour après un an de pause. De l’interprétation du « Big Bang » à la prise de conscience des mondes parallèles, des rêves aux contradictions journalières et aux convergences existentielles des événements, notre protagoniste interprète les significations nébuleuses de ses cauchemars récurrents fragilisant son équilibre mental ! Mais nous, lecteurs, devons demeurer éveillés et faire un effort d’empathie. Une fois ce malaise onirique élucidé, notre homme reprend sa route. Son obsession et sa fixation à poursuivre sur le chemin de la conquête amoureuse seront réprimées par trois nouveaux évènements significatifs : La vie prend dans la douleur. La vie donne dans le bonheur. La vie est prévue de se terminer. « Après une année en pause, pendant laquelle je censurais ma virilité des terreaux fertiles de mes fantasmes, m’immunisant contre les rencontres coquines, m’esquivant devant les regards revendicateurs, je me suis reconstruit en un château fort. Je ne suis pas un partisan des remises en question, mais j’accepte de discuter avec prudence les arguments de ma petite voix intérieure. » « Les événements éprouvants avec lesquels je n’ai aucune emprise me ruinent l’humeur ! Peuvent-ils se calmer ? Je ne peux constamment me débattre dans les filets de la tristesse. À mon âge, ce qui me reste est de surfer sur les vagues du bonheur et m’enivrer de l’écume des plaisirs de la vie, comme le ferait un bon champagne dans mon gosier assoiffé d’émotions ! »