Couchés en étoile dans la combustion lente des jours, c’est un carrousel de catastrophes amoureuses et de déracinements, qui s’enchaînent dans une chronologie un peu tordue de la vingtaine où la tendresse et la colère parviennent, malgré tout, à coexister. Parce que dans un monde où tout s’effondre autour – et parfois même en dedans –, on arrive encore à ne pas mourir. Et, devant ce qui brûle, à faire griller des guimauves sur les braises.