420 grammes, c’était la consommation annuelle de cannabis de Philippe Meilleur, auteur comique, avant d’écrire ce livre. Dans cet essai tragi-comique, il dresse un bilan éclaté de sa carrière d’accro : il revisite son adolescence à grands coups d’autodérision, réfléchit à l’adulte qu’il est devenu et décortique sa relation amour-haine avec le pot. Saura-t-il au passage se libérer de sa dépendance? « J’ai la mi-trentaine et je suis rendu au point où le weed est essentiel à mon homéostasie. Dans mon corps, les cannabinoïdes sont sur un pied d’égalité avec l’oxygène, l’eau et l’album Infest de Papa Roach : j’en ai besoin pour survivre. »