Grand entretien avec l’artiste et bédéiste montréalaise d’origine française Julie Delporte, dont les romans graphiques explorent l’intimité, la sexualité, les relations amoureuses et la santé mentale. C’est le cas de son plus récent album, Corps vivante, à lire à la croisée de Tove Jansson et de Monique Wittig. L’autrice y traite de sa propre histoire sexuelle, à la suite de Moi aussi je voulais l’emporter, en y convoquant la violence, la pression et les limites de l’hétéronormativité.